Plateau de Beille, Ax-3-Domaines, Guzet : autant d’ascensions légendaires qui font partie de l’histoire du cyclisme ariégeois et du Tour de France. Les cols, les stations, les villes étapes ou d’arrivée, ont marqué le Tour et ainsi les nombreux fans de l’événement, qu’ils soient cyclistes, ou non.
Notre sélection d’ascensions fabuleuses à vélo de route
- Plateau de Beille : depuis 1998, l’ascension depuis les Cabannes jusqu’au plateau constitue régulièrement l’ascension finale d’une étape du Tour de France. La petite particularité du Plateau de Beille est que les vainqueurs de l’étape ont, de 1998 à 2007 aussi remporté le Tour de France. A croire que Beille porte chance !

- Port de Lers : c’est un des cols préférés des cyclistes en Ariège. De nombreuses étapes du Tour ont défilé au Port de Lers, voyant Marco Pantani en 1995 ou encore Romain Bardet en 2019 effectuer l’ascension de cette route reliant la vallée d’Aulus à celle d’Auzat.
- Col de Port : passage entre le Vicdessos et Massat, dans le Couserans, c’est le premier grand col pyrénéen inscrit au programme d’un Tour de France à l’occasion de la neuvième étape Perpignan-Luchon et gagnée par Octave Lapize le 19 juillet 1910. Depuis, il y a eu plus de 30 passages au col de Port. Il est régulièrement remplacé par son voisin tout proche : le mur de Péguère.
- Col (ou Mur) de péguère : la première fois que les cyclistes du tour de France le franchirent est toute récente : 2012 ! Contador, Landa ou encore Quintana ont affronté la dure montée de 3.6km en moyenne à 11% avec deux courtes portions à 16 et 18% (d’où son surnom de « mur »)

- Prat d’albis : inédit ! Le Prat d’Albis a été l’arrivée du Tour de France en 2019 pour la première fois ! A 1205m d’altitude et une vue sublime sur la ville de Foix, le Prat et ses 11.8km à 6.9% fut une belle dernière ascension pour des coureurs déjà passés au col de Montségur Port de Lers et Mur de Péguère.
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